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Lucifer est l’ennemi personnel et implacable du Verbe incarné...

"Lucifer est l’ennemi personnel et implacable du Verbe incarné. Sa haine n’a qu’un but : rendre impossible la croyance au dogme de l’Incarnation. De là, les trois grandes erreurs qui résument toutes les autres et qui ont dominé le monde ancien, comme elles tendent à dominer le monde moderne : le Panthéisme : si tout est dieu, pas d’Incarnation ; le Matérialisme : si tout est matière, pas d’Incarnation ; le Rationalisme : si toute vérité est renfermée dans les limites de la raison, point de mystère, partant point d’Incarnation. (…) Or, ce qui ne s’est jamais vu, la grande négation est aujourd’hui écrite, prêchée, accueillie avec une ardeur dont le spectacle fait monter la rougeur au front et remplit l’âme d’épouvante pour le présent, et plus encore pour l’avenir : c’est un signe des temps. En effet, si notre Seigneur Jésus-Christ, auteur de la grande révolution qui a changé le monde, n’est pas Dieu, il faut répudier l’Evangile avec toutes ses conséquences, revenir au paganisme et se refaire des dieux au gré de ses passions. Déjà le monde n’est-il pas rempli de ces nouvelles ou mieux de ces anciennes idoles de luxure et de cruauté ? (…) Or, adorer ce qui n’est pas le vrai Dieu, c’est adorer un faux dieu, c’est adorer Satan, c’est être païen, c’est retomber dans la gentilité, dont tous les dieux étaient des démons : omnes dii gentium daemonia. Ps, XCVI, V."

Extraits de « Mort au cléricalisme ou résurrection du sacrifice humain » de Mgr Gaume, publié initialement en 1877.


Ci-dessus, couverture du livre de Mgr Gaume réédité récemment par les éditions du Verbe Haut, et préfacé par Sylvain Durain.


Ce livre est aussi disponible aux éditions Saint Rémi, là :

https://saint-remi.fr/fr/apologetique/512-mort-au-clericalisme-ou-rsurrection-du-sacrifice-humain-9782845193574.html?fbclid=IwAR2nAhZBPxYoSU_uM09sFAu5snaMA57sBq0s-yRCiP-D02mvvm65BEcjm1c


J'encourage tout le monde à le lire malgré certaines descriptions de rituels païens particulièrement abominables. Il est évident que ces cultes ont perduré jusqu'à nos jours et sont pratiqués dans certains milieux depuis des millénaires. Il n'y a que deux choix possibles au final: soit le catholicisme de la tradition ou bien le culte du Serpent antique qui est à l'honneur parmi les initiés. Soyons assurés que le Nouvel Ordre mondial satanique sera anéanti par notre Seigneur Jésus Christ, comme la célèbre Tour de Babel. Les fausses religions disparaîtront, tôt ou tard. Là où la Lumière brille les ténèbres disparaissent. En attendant, menons le bon combat pour défendre la Vérité et la Vie contre ce système de mort. "La Vérité fera de vous des hommes libres" nous dit notre Seigneur Jésus Christ.


Ci-dessous en photo : la statue appelée « Le Génie de la Liberté » réalisée par Auguste Dumont (en 1836) qui trône sur la colonne de Juillet, place de la Bastille, à Paris, lieu symbolique de la Révolution française. Le petit-fils de Louis-Philippe d'Orléans, duc d'Orléans (lui-même petit-fils de Philippe d'Orléans, « Le Régent »), qui était le roi Louis-Philippe décida en 1830 de construire la colonne de Juillet, déjà prévue en 1792, pour commémorer le renversement de la monarchie de Charles X les 27, 28 et 29 juillet 1830, appelées improprement « Trois Glorieuses ».

Dès le 16 juin 1792, il fut décidé que l’emplacement de la Bastille formerait une place dite « de la Liberté » et qu’une colonne y serait élevée, mais on y installa d'abord la "Fontaine de la Régénération" pour le 10 août 1793, qui était au cœur de la fête de "l'Unité et de l'Indivisibilité de la République".

Ci-dessus, fontaine de la Régénération (Place de la Bastille), gravure, Collection de la bibliothèque nationale de France. La fontaine commémorait la prise des Tuileries de 1792. Elle était de style égyptien, et présentée comme une allégorie de la Nation.


Cette fête révolutionnaire organisée par Jacques Louis David et conçue par Hérault de Séchelles, fut la plus importante des cérémonies révolutionnaires. Un budget de deux millions lui fut alloué par la Convention. Le parcours prévu pour le cortège avait cinq « stations » symboliques de la Révolution : du Champ de Mars (dont le nom vient du Champ de Mars romain, et donc du "dieu" romain de la guerre, Mars) à la Bastille en passant par la place de la Concorde. Cette place de la Bastille est aussi devenu le point de rassemblement du défilé annuel de la « Gay Pride »…


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